Dimanche 28 juillet 2019
Loi historique de reproduction anonyme pour tous
discutée à l’Assemblée Nationale à partir du mardi 24 septembre 2019 jusqu’à mars 2020
POUR CONTRER LA PMA UNIVERSELLE
PAR DONNEUR ANONYME
SANS PERE (NI MERE) GÉNITEURS
SOUTENEZ LA PMA UNIVERSELLE
AVEC PÈRE (ou MÈRE) GÉNITEURS
SANS DONNEURS ANONYMES.
POUR TOUTES LES FEMMES ET TOUS LEURS ENFANTS !
REJOIGNEZ DÈS MAINTENANT
L’AVENIR POUR TOUS !
Le dernier conseil des ministres du mercredi 24 juillet 2019 a adopté le projet de loi dit de bioéthique qui universalise la reproduction artificielle par insémination et FIV à toutes les femmes par donneurs anonymes, supprimant par là-même le père ou la mère géniteurs de l’enfant. Ceci sera possible pour toute forme de familles, en conjugalité hétéro ou homo, ou hors conjugalité, si les femmes désirant un enfant sont célibataires.
Pendant ce temps devant l’Elysée, Virginie Tellenne-Frigide Barjot, leader historique des manifs de novembre 2012 à mai 2013 et déléguée générale de L’Avenir pour Tous depuis juin 2013, expliquait pourquoi et surtout comment combattre cette loi de reproduction sans géniteurs homme ni femme, qui boucle, 7 ans plus tard, la loi de mariage asexué Taubira, comme Frigide Barjot l’expliquait à l’époque. C’est contre ce changement de reproduction humaine qu’elle a levé des millions de français, descendus dans la rue à son appel.
C’est contre ce changement ontologique et eschatologique de notre humanité qu’elle combat toujours, et toujours avec les mêmes arguments et propositions qu’alors.
Car contester frontalement une loi biotechnologique qui modifie à terme notre nature humaine sans proposer d’alternatives plus éthiques aux personnes bénéficiaires de cette loi dans leur vie amoureuse et familiale, revient en fait à aggraver le contenu eugéniste de la loi contestée.
C’est pourquoi Frigide Barjot proposait alors, face au mariage de même sexe ou genré, une union civile réservée aux couples de même sexe pour conserver le principe premier de la sexuation humaine, donc de la procréation entre l’homme et la femme. Il s’agissait, en reconnaissant la fonction procréative des sexes aux couples de même sexe, de ne pas universaliser le genre par un mariage reproductif de même sexe, qui légalise un reproduction artificielle par FIV. L’union civile ainsi différenciée PROTÈGE le mariage et la procréation sexués et donc la filiation biologique des enfants.
Cette inclusion des couples et des familles homoparentales « sexuées » et non « genrées » qu’incarnaient Frigide Barjot, Xavier Bongibault et Laurence Tcheng a grandement contribué au succès historique des premières manifs de 2012-2013.
Sept ans plus tard, Virginie Tellenne, toujours avec Xavier Bongibault et Laurence Tcheng, énonce à nouveau comment contrer utilement la nouvelle loi légalisant la technologie de procréation artificielle par semences anonymes, et sa filiation juridique sans homme, entre deux femmes. Il s’agit, sur le même mode inclusif des couples homos ET des célibataires, de maintenir notre humanité dans la sexuation homme-femme.
A quelques semaines de la discussion de la loi à l’Assemblée nationale qui sera ouverte le 24 septembre et close en mars 2020, il est temps de monter une mobilisation citoyenne politiquement responsable en ce sens. Pour cela L’Avenir pour Tous vous propose de vous rassembler nombreux sur ses propositions de procréations naturellement ou médicalement assistées avec père ou mère géniteurs connus et extra-conjugaux, et ce, pour toute femme. Le mode de procréation déterminant la forme des familles, cette approche sexuée pour tous renforce en premier lieu la famille reposant sur le couple homme-femme, en permettant aux familles nouvelles, homo ou monoparentales, de pouvoir concevoir leur enfant par une procréation biologique, responsable et solidaire, sans tri d’embryons ni manipulation génétiques non-contrôlées. Bref, exactement comme dans la famille homme-femme !
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L’AVENIR POUR TOUS !
Cette interdiction est liée au fait que l’anonymat est absolu dès lors que l’on n’est pas en conjugalité sexuée. (art 1244-3 et 1244-7 du Code de Santé Publique)2/ La loi étend l’anonymat à toute femme dans le but de substituer à la fécondation in utero une fécondation technologique in vitro qui permet la sélection et le tri des embryons. Si cette sélection peut permettre, par séquençage de l’ADN germinal (qui permet la reproduction), d’éradiquer des maladies graves, les techniques de sélection embryonnaire peuvent aussi conduire au choix du sexe ou de la couleur des yeux; et avec le procédé des ciseaux génétiques Cispr-CAs9, demain l’augmentation génétique, intellectuelle et physique de l’embryon. C’est le passage à une reproduction eugéniste transhumaine.
3/ Par ailleurs, se réalise une collecte des données génétiques et de santé, qui s’agrègent aux données sociales des réseaux numériques et augmentent les bigdata indispensables aux algorithmes de l’Intelligence Artificielle. C’est le marché « bi-face » des big data de l’IA.
PAR LA COPARENTALITÉ, L’AVENIR POUR TOUS PROPOSE DE SORTIR DU DIKTAT DE LA FÉCONDATION ANONYME QUI EST IMPOSÉE A CEUX QUI NE SONT PAS EN COUPLE HOMME-FEMME
Face à cette extension de la procréation anonyme qui rompt l’unité de notre humanité en deux modes de reproduction distincts, l’un naturel, l’autre artificiel, le projet de L’Avenir pour Tous est simple : sans supprimer l’option de la PMA anonyme pour celles qui la désirent (car elle est imposée par le marché transhumain mondial), la loi doit donner le choix à celles des femmes vivant sans homme, de pouvoir tout de même concevoir leur enfant avec un homme ou une femme connus (en cas d’ovocytes défaillants), sans être obligée de recourir au marché de la reproduction anonyme.
L’Avenir pour Tous propose logiquement d’étendre de façon égale à toute femme la procréation biologique entre homme et femme, par PMA « amicale » des géniteurs-pères, par nature extra-conjugaux. Ce peut être par relation sexuelle, par insémination fraîche médicalisée, ce qui n’empêche nullement le recours à la FIV si les parents géniteurs, qui se sont choisis intuitu personae, ont des difficultés à procréer par relation sexuelle ou par insémination in utero.
– Pour ce faire, à côté de la double filiation de même sexe de la nouvelle loi, L’Avenir pour Tous demande qu’il soit établi un statut de coparentalité, créé dans un titre 8 du Code Civil, qui fera coexister les parents géniteurs extra-conjugaux et les parents d’intention de même sexe, ou non-mariés.
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et de coparentalité des géniteurs et des éducateurs,pour l’indispensable exercice de leur droit d’expression de citoyens, et pas seulement de marcheurs-godillots. Ce droit est doublé ici de celui à rester des père et mère conscients de l’évolution de leur procréation, de leurs corps et surtout des générations futures de leurs enfants.
L’Avenir pour Tous demandera des rendez-vous à l’ensemble des parlementaires, des ministres concernés et des associations mobilisées, afin de leur soumettre ce projet de réelle égalité pour tous, celle des enfants comme celle des parents.
En résumé, celle de ce choix LEGITIME de la procréation sexuée extra-conjugale, et de l’éducation en co-parentalité qui en découle. POUR NOTRE SURVIE !
C’est À VOUS de décider si les enfants de vos petits-enfants resteront des hommes et des femmes ! Et c’est MAINTENANT !