Paris, le 11 mai 2020
DES TRAITEMENTS, PAS DE TRACEMENTS.
SANS MASQUES AU-DELÀ DES 1 M DE DISTANCE PHYSIQUE, SAUF POUR LES PERSONNES A RISQUES (C’est déjà assez triste comme cela !).
Voici les deux types de traitements utilisés depuis le mois de février 2020 pour les malades du #CovID19 avant le (dé)pistage et le fichage numériques, l’isolement et l’éventuelle hospitalisation.
Nous vous les mentionnons pour en discuter par consultation de prévention au traçage numérique avec votre médecin généraliste, afin qu’il/elle soit prévenu(e) et opérationnel(le) dès d’éventuels premiers symptômes, pour éviter que :
1/ la pandémie ne reparte avec le déconfinement
2/ nous ne restions plus longtemps sous masques déshumanisants et traçages numériques, avec la collaboration de médecins collecteurs, brigades Sécu ficheuses, et appli #StopCovid traceuses.
3/ que nous malades ne finissions transformés en data numériques dans la Health Data Hub. C’est l’immense Cloud franco-Microsoft, appelée aussi plate-forme de données de santé, qui nourrira à prix d’or des études scientifiques électroniques, faites avec nos centaines de milliards de datas (#BigData) mais sans notre volonté ni notre contrôle, pour supprimer nos médicaments de soins et notre relation de confiance avec notre médecin.
Le tout pour nous imposer des études data-numériques pour un vaccin à la composition et à l’objectif inconnus…
Le traitement médiatisé et performant du Pr Raoult qui a sauvé 4000 personnes en 2 mois, n’est interdit contre #CovID19 que pour la partie hydroxychloroquine sur cas modérés, et à la délivrance pharmaceutique en ville (1)
La liberté de prescription du médecin reste entière pour ces cas modérés (vous aux premiers symptômes), notamment pour des antibiotiques qui peuvent être prescrits sans dépistage, et qui, pour certains, fonctionnent dès le premier jour des symptômes cliniques (2)
1/ Le médecin-professeur-infectiologue de l’IHU de Marseille a mis son protocole Plaquenil+Zythromax en ligne sur son site depuis le 22 mars 2020, et n’a pas été interdit de le prescrire.
https://www.mediterranee- infection.com/epidemie-a- coronavirus-covid-19/
“Pour tous les patients infectés, dont un grand nombre peu symptomatiques ont des lésions pulmonaires au scanner, de proposer au plus tôt de la maladie, dès le diagnostic :
– un traitement par l’association hydroxychloroquine (200 mg x 3 par jour pour 10 jours) + Azithromycine (500 mg le 1er jour puis 250 mg par jour pour 5 jours de plus), dans le cadre des précautions d’usage de cette association (avec notamment un électrocardiogramme à J0 et J2), et hors AMM. Dans les cas de pneumonie sévère, un antibiotique à large spectre est également associé.
Nous pensons qu’il n’est pas moral que cette association ne soit pas inclue systématiquement dans les essais thérapeutiques concernant le traitement de l’infection à Covid-19 en France”.
Malgré l’interdiction de l’hydroxychloroquine (HCQ) en population générale et à la prescription aux généralistes, dès le 23 mars par le Haut Conseil à la Santé publique, qui l’a réservée aux cas graves sur lesquels elle ne marche pas d’après son auteur, et un décret en ce sens du 26 mars 2020, la réservant aux établissements hospitaliers, dont les hôpitaux militaires qui se sont approvisionnés avec 1 tonne d’hydroxychloroquine pour la distribuer en cas de besoin aux politiques et privilégiés,
ce protocole, avec son dépistage pour tous, et sa prescription sur tous patients sans aucun tri, a guéri à ce jour 4 000 patients avec un taux de 0,5% de létalité à l’IHU de marseille (contre 19,5% pour toute la France).
DERNIÈRE MINUTE – MARDI 26 MAI – 14h.
Suite à une étude data-numérique parue il y a 3 jours dans The Lancet, qui n’a pas étudié des patients cliniques prévenus d’être traités en ce sens par leurs médecins, mais des millions de données de santé de 673 hôpitaux, recueillies sur 5 mois sur un Cloud de l’université de Harvard, moulinant sans possibilité de contrôle externe dans une IA, l’OMS, a suspendu la prescription et les essais cliniques de l’hydroxychloroquine.
Dans la foulée (comme en mars), un avis du Haut Conseil de la Santé Publique du 23 mai 2020, publiée ce jour à 14 h., doublé d’un décret du 27 mai 2020, vient d’interdire aussi les traitements sur cas graves à l’hôpital, supprimant officiellement tout traitement médicamenteux en cas de #CovID19. La place est libre pour le traçage numérique.
La place est libre pour le remplacement du traitement par le traçage numérique.
Tout ceci au moment où, 15 jours après le lancement des Brigades de Santé, est voté celui de l’appli numérique “StopCovid” qui est votée ce 27 mai 2010. Les traditionnels soins médicamenteux sont donc remplacés par le double traçage numérique, depuis la consultation CoVID19, le test PCR en labo, qui déclenche l’investigation des brigades de santé, avec, en cas de positivité ou de suspicion positive, le placement à l’isolement 14 jours renouvelables et la collecte des données de familles et de tous les autres cas contacts.
Mais les médecins généralistes peuvent toujours prescrire la deuxième partie du protocole, à savoir les antibiotiques macrolides.
Ceux-ci ne pouvant publier leurs prescriptions, voici ce que L’AVenir pour tous a pu retrouver des publications faites dans la presse. A débattre avec votre médecin generaliste
2/ Les médecins généralistes de Moselle, Isère, Nord, Doubs, etc, ont guéri un maximum de cas précoces, avec ces prescriptions.
• Cas modéré dès 1ers symptômes
– un macrolide seul (Zithromax, Zeclar, Rulid ou Josacine)
• Pour les pneumonies plus étendues aux bases ou avec infection ORL
– en association avec une céphalosporine de 3ème génération (C3G)
• Cas de contre-indication
il est possible de proposer des tétracyclines ou de la ciprofloxacine (sur les formes digestives surtout), qui visent tous des germes intracellulaires
• pour les signes intestinaux : douleurs abdominales, diarrhées, vomissements :
– soit une fluoroquinolone plus axée sur les symptômes coliques.
– soit un macrolide s’ils présentaient secondairement des signes respiratoires une fois la crise digestive passée.
• Cas d’alitement prolongé ou facteurs de risque,
on y rajoute prudemment
– une héparinothérapie préventive forte,
– des anti-histaminiques sur des terrains allergiques pour réduire le niveau d’inflammation,
– et des bronchodilatateurs pour soulager les symptômes d’essoufflement et réduire les sécrétions bronchiques gênantes.
• Autre prescription qui est tout à fait dans le même esprit, associant macrolides et anti-asthmatique anti-inflammatoire (Singulair) et, le cas échéant, héparine, avec du zinc
Mis en place en Moselle (57)
http://www.leparisien.fr/
• Avec les révélations de la bactérie Prevotella, on peut questionner notre médecin sur la possibilités de prendre des probiotiques et/ou de l’argile pour prévenir l’infection intestinale qui pourrait migrer dans les poumons.
• On peut se renseigner aussi sur la lumière des UV, et profiter largement du soleil de ce printemps-été…
https://www.msn.com/fr-ca/
Voilà, vous avez tout pour aller en parler avec votre médecin généraliste, et vous déconfiner sans risque et sans masque (sauf là où il est absolument obligatoire (transports publics), et nous prémunir tous d’une 2ème vague submergente, ainsi que de l’enfermement et la délation de vos contacts, sans aucun traitement, mais avec des milliards de big data à la clé.
Pour nous rassembler avec tous ceux qui ne veulent pas être tracés et fichés data de santé, partagez notre pétition de L’AVenir pour Tous qui demande la liberté de prescription de tous ces traitements performants. Et ce depuis le 30 mars 2020… Plus nous serons nombreux à résister, moins nous serons happés dans la transformation data-numérique invisibilisée.